Patrizia Cattaneo


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Témoignages de guérison et délivrance

Père Bianco

GUERISONS PHYSIQUES

Témoignages des membres de l'Association qui sont venu en Italie



Je n’ai plus du tout ma aux jambes

Encore mille merci pour votre organisation de pèlerinage. Nous avons été enchantés. Je tiens aussi à vous témoigner que depuis ce matin je ne ressens plus mes douleurs dans le bassin (fémur) et que je peux marcher tout naturellement sans douleurs. Je n’en reviens pas. Merci au Père Bianco pour son intercession auprès de Jésus et à sa belle prière de guérison!
Diane, France, 12 juin 2013


Je suis sorti du tunnel de ma psychose

Je suis venu en pèlerinage avec ma mère et ma sœur en janvier 2008 voir le Père Bianco à Torre Le Nocelle. Quand je vous avais rencontré je n’avais pas osé vous parler de mes vrais problèmes. Il ne faut pas m’en vouloir : j’avais honte et j’étais dans le déni. J’ai fini mes études universitaires en septembre 2005. Fin 2007 je sortais de l’hôpital psychiatrique et les psychiatres m’avaient diagnostiqué une psychose délirante. J’avais des idées de complot généralisées (université, famille, voisinage, télévision), des idées de persécution : c’était invivable. Je souffrais aussi d’angoisses et d’un mal être permanent. La psychose est une maladie grave qui dure parfois toute la vie. La médecine sait la soigner mais pas la guérir encore à ce jour. Les personnes qui en souffrent sont très affectées sur le plan relationnel, affectif, professionnel etc.
Une fois que les médecins m’ont mis sous traitement les idées délirantes ont disparues mais je souffrais d’effets secondaires comme des impatiences et je n’avais plus envie de rien faire de mes journées.
Lorsque le Père Bianco avait prié sur moi en 2008 il avait prononcé le mot « Force » à plusieurs reprises. A l’époque je n’avais pas compris ce que cela voulait dire. Aujourd’hui j’ai compris… !
A ce jour je vais de mieux en mieux. J’ai complètement arrêté les antidépresseurs. J’ai juste une toute petite dose de Neuroleptique (médicament qui soigne la psychose). Les psychiatres n’en reviennent pas à quel point je me porte bien. La dernière fois qu’il m’a vu le médecin m’a dit : « Heureusement que tous les malades ne sont pas comme vous, sinon nous serions au chômage» ! Je suis de plus en plus solide et j’ai de plus en plus d’assurance en moi ! Je ne désespère pas dans quelques années de pouvoir complètement arrêter les médicaments si le Seigneur le veut.
Aujourd’hui j’ai un travail et je me suis marié il y’a un an, ma femme est enseignante. Nous sommes tous les deux pratiquants et nous recevons les sacrements régulièrement. Aujourd’hui nous voulons un enfant.
Voilà je voulais témoigner de l’Amour de Dieu dans ma vie. Aujourd’hui je sais où je vais et je sens sa présence et son œuvre chaque jour dans ma vie. Il faut se souvenir aussi que le temps pour Dieu n’est pas le temps pour nous. Dieu dans sa sagesse, manifeste sa puissance où il le veut et quand il le veut.
Je veux le remercier ainsi que le Père Bianco son serviteur pour sa prière. Vous pouvez si vous voulez lui raconter mon témoignage et même le publier.
Je voulais vous dire aussi que je garde d’excellents souvenirs de votre pays l’Italie. C’est un très beau pays. Les gens sont attachants et très croyants en Dieu !
Au revoir Patricia et encore merci
En union de prières
Xavier, France, Juillet 2013


Des calculs rénaux

J’ai participé au pèlerinage de novembre 2012. Je souffrais de calculs rénaux et j’ai demandé la grâce de la guérison. Ca y est: mes calculs rénaux sont sortis et éliminés! Je suis soulagé et je remercie le Seigneur!
Joseph avril 2013

Soulagement

En pensant à des moments inoubliables partagés ensemble pendant notre voyage spirituel à Naples, je vous embrasse en Christ. Que Dieu bénisse le Père Bianco pour l'amélioration de l'état de santé de ma fille, qui est plus positive. Elle a dépassé un peu sa souffrance et sa solitude.
Pascale, mars 2013

Plus de foi

Nous sommes de retour en Guadeloupe depuis trois semaines et nous sommes contents de retrouver la chaleur, surtout après le temps qu'il faisait en France.
Nous gardons un très bon souvenir de ce pèlerinage. Nos enfants avaient la foi, mais depuis, ils éprouvent de plus en plus le besoin de partir en retraite, de prendre des moments de cœur à cœur avec le Seigneur. En ce qui me concerne, je souffrais depuis trois ans et on a enfin découvert que cela provenait d'un problème au niveau des cervicales.

Françoise, mars 2013


Une tumeur nasale

Je suis venu en pèlerinage avec mon épouse Denise en 2011 de l’Ile de la Réunion. Cela a été un merveilleux voyage. Elle avait une tumeur nasale très rare et très difficile à découvrir. Aucun docteur n’y était parvenu. Il a fallu qu’elle se rende chez le père Bianco. Deux mois après le pèlerinage, nous avons trouvé un nouveau médecin qui a pu découvrir la maladie et elle a été opérée. L'opération a duré plus de trois heures. Normalement, elle ne devait plus avoir ni d'odorat, ni de goût, et bien non: tout fonctionne ! A ce jour, elle est guérie de ce problème et nous remercions le Seigneur et le Père Bianco.
Jean, mars 2013


Les polypes ont disparu

J'ai été opéré du gros intestin en 1998. Depuis 1999, je dois aller deux fois par an à l'hôpital pour faire un examen de contrôle à cause de nombreux polypes qui apparaissent constamment. Cela se fait sous anesthésie générale et consiste en une fibroscopie et une coloscopie.
En avril 2012, j'ai fait un pèlerinage au cours duquel j'ai rencontré le Père Bianco. J'ai pu lui parler de ma maladie. En juillet, j'ai passé un nouvel examen de contrôle. Le spécialiste a été très surpris car il s'attendait à trouver beaucoup de polypes comme c'était le cas à chaque fois. Il est venu me voir pour m'annoncer qu'il n'y avait presque plus rien et m'a demandé ce que j'avais fait car il trouvait cela bizarre. J'ai ainsi parlé du Père Bianco à mon médecin.
Jean-David, Ile de la Réunion, 22 novembre 2012


Un cancer du nez

Je me suis recommandée au Père Bianco pour un cancer à l'extérieur du nez, le Père a été rassurant, il s'agissait d'une formation bénigne a-t'il dit. A la deuxème visite pour l'intervention chez le dermatologue, celui-ci a constaté qu'il n'y avait plus rien, à la stupéfaction aussi de mon Médecin qui m'a demandé les papiers concernant le Père et son adresse à Torre le Nocelle.
Ernestine - France - 30 Octobre 2012

Guérison des yeux

Père Michele Bianco,

Je suis une dame de 30 ans. J’ai eu la chance de vous rencontrer mais encore davantage j’ai reçu un miracle il y a deux ans, lors d’une Messe que vous avez célébrée.
J’ai une enfant aveugle mais un samedi de 2006, au cours de la célébration eucharistique, ma petite fille a commencé à voir un peu la lumière. Elle a ainsi pu devenir progressivement assez indépendante, même si, aux dires des médecins qui examinent ses yeux, elle ne pourrait rien voir.
Ma fille vient d’avoir 3 ans.
Quelle chance que le Seigneur nous donne des personnes merveilleuses comme vous.
Merci Père Bianco
Lettre de Lucia G. (Potenza – Italie)


Une guérison par le dvd

En 2011, un prêtre de l'Ile de la Réunion a été en pèlerinage chez Saint Cyriaque avec une autre organisation que la nôtre. Malheureusement pour lui, il n'y avait pas de rencontre prévue pour son groupe avec le père Bianco. Je l’ai alors inséré dans mon groupe, afin de lui donner l'occasion de le rencontrer malgré tout et, sollicitée par une pèlerine, je lui ai offert le DVD sur le père Bianco par la même occasion. Après je n’ai plus eu de nouvelles de sa part. Ce prêtre est revenu cette année au mois d'août, pour la fête de St Cyriaque.

Il a témoigné qu'une fois rentré à l'Ile de la Réunion l'année précédente, il avait donné le sacrement des malades à un homme de sa paroisse qui était hospitalisé. Les médecins avaient diagnostiqué qu'il n'y avait plus rien à faire pour lui et qu'il ne pourrait plus jamais marcher. Le prêtre lui avait également donné le DVD sur le Père Bianco. Au moment de la bénédiction finale du Père Bianco (qui a été enregistrée sur ce DVD), l'homme s'est mis debout. Ses douleurs avaient disparu d'un seul coup et il a commencé à remarcher normalement. Le prêtre a témoigné ce miracle aux pèlerins de mon groupe du mois d'août.
Nous pouvons vraiment rendre gloire à Dieu pour cette guérison et pour qu’Il se moque des détracteurs du père Bianco!

Le bébé handicapé

La femme d'un pretre orthodoxe de Belgique est venue en pèlerinage avec son mari en février 2012 prier aussi pour un bébé handicapé. Elle a présenté au père Bianco la photo du bébé, qu’il a bénie. Il faut bien souligner que pendant ce pèlerinage il n’y avait pas de messe dite «de guérison», mais comme je l’affirme constamment: toute messe est de guérison. A son retour en Belgique, cette femme a découvert que pendant qu'elle effectuait son pèlerinage à Saint Cyriaque, le bébé avait au même moment mystérieusement guéri, que les os de son crâne qui n’arrivaient pas à se souder, s'étaient soudés et que les autres malformations aussi avaient disparues, excepté quelques problèmes aux pieds, mais qui n’étaient pas graves. La chose la plus étonnante est que le bébé est l’enfant de franc-maçons. Que le Seigneur arrive à toucher leur cœur par cette grâce.!

Févirer 2012


Je ne tousse plus

Antoinette est une femme de 85 ans, d’origine italienne, vivant en France depuis 50 ans. Animée par une foi inébranlable, elle a fait un long voyage par le train pour rencontrer le père Bianco et lui demander de prier pour sa guérison physique. Elle souffrait depuis longtemps d’une bronchite chronique, d’une douleur au poignet et sa vue s’était affaiblie. Dès son retour, elle m’a appelée pour m’informer que sa douleur au poignet et sa bronchite avaient disparu, et qu’elle voyait un peu mieux.
Novembre 2011


Le bébé qui ne mangeait pas

Une maman est venue en pèlerinage présenter son bébé de 2 ans qui ne mangeait pas au père Bianco. Pendant le pèlerinage de la fête de St Cyriaque 2008, nous avons rencontré le Père à trois reprises.
Le premier jour rien ne s’est passé. L’enfant, même après la bénédiction, refusait toute nourriture.
Le deuxième jour, j’ai insisté auprès du Père Bianco: «Père, ce bébé ne mange pas». Le Père l’a béni et il a dit : «Demain, fête de Saint Cyriaque, il mangera des pâtes et de la viande». Cependant, la veille au soir, l’enfant refusait toujours toute nourriture.
Le matin de la fête de Saint Cyriaque, le 8 août, nous avons rencontré le Père Bianco pour la troisième fois. Je lui ai encore dit: «Père, cet enfant ne mange pas». Il l’a béni sans rien dire. En sortant de l’église, l’enfant a demandé: «Maman, donne-moi de la compote». Il en a mangé deux portions et, à table, il a mangé normalement. Sa mère était préoccupée. Elle pensait qu’il allait vomir car son estomac n’était plus habitué à se nourrir depuis longtemps. Mais rien ne s'est passé. La prophétie du Père Bianco s’est ainsi réalisée: il avait dit que le jour de la fête de St Cyriaque, l’enfant mangerait.
J’ai raconté à sa maman le récit que j’ai publié dans mon livre «Le diable à genoux» (Ed. du Parvis
www.parvis.ch) qui parle du Père Bianco et de Saint Cyriaque. Je lui ai dit qu’un tel miracle était déjà arrivé à l’avocat Carmine Capone qui a témoigné :
«Six années après mon mariage, et après tant de prières à saint Cyriaque, ma femme donna le jour à un bel enfant, qui pourtant les deux premiers jours ne voulut prendre ni lait maternel ni autre chose. Découragé et abattu, je me suis endormi sur un petit lit de la clinique, près de ma femme, et dans un songe, j'ai vu saint Cyriaque me tranquilliser: «As-tu vu le beau garçonnet que je t'ai envoyé? Es-tu content?». Et moi, j'ai répliqué: «Mon saint Cyriaque, je te remercie, mais si l'enfant ne mange pas, il mourra!». Le saint martyr, la main levée, comme s'il avait voulu me tranquilliser me dit: «Maintenant, il mangera, ne t'inquiète pas, il mangera». Je me suis réveillé en sursaut et j'ai immédiatement raconté mon songe à ma femme. Une demi-heure plus tard environ, les infirmières de la clinique ont pris l'enfant au berceau et elles l'apportèrent à la mère. Il s'est attaqué au sein avec une voracité indicible. N'est-ce pas un miracle aussi ? »
Saint Cyriaque aime les enfants et s’occupe des souffrants. Le jour de sa fête, il ne pouvait pas refuser une telle grâce à une mère préoccupée pour son bébé.

Aout 2008

Guérie de paralysie

Madame Patrizia, je viens par ce mail vous adresser mes vœux sincères car vous faites un merveilleux travail de communication qui a permis à de nombreuses personnes de savoir qu'il y a des personnes qui souffrent et qu'elles peuvent être soulagées et même guéries; elles peuvent revenir avec une foi affermie et recevoir de nombreuses grâces divines.
M. avec ses béquilles dont la paralysie a été totalement guérie le 26 mai 2007. A présent, je sens bien mes jambes. Sans Stella Maris, je n’aurais pas connu Don Michele Bianco ni le Père Manjackal; c'est merveilleux. De bonnes pensées de prières. MP.

Crise de désintoxication

Bonjour Patrizia,
Je voulais vous contacter depuis plusieurs jours mais voilà, j'ai été très occupée cette semaine et le temps passe si vite! Il y a une semaine, j'ai revu mon ostéopathe. Elle m'a dit que les tissus de mon corps étaient nettoyés. Alors, je lui ai raconté mon histoire de fièvre pendant une semaine sans cause physique, juste après le retour de mon pèlerinage à Torre Le Nocelle : pendant une semaine, après le pèlerinage, en effet, j'avais très mal à la tête, surtout du côté où je suis tombée il y a 5 ans sur un angle métallique (j'ai bien failli me tuer) et j'avais eu ce côté insensible pendant des semaines, ensuite un peu plus sensible (se réveille-t-il?); alors, je me suis frottée la nuque et en dehors des cheveux avec de l'huile bénite achetée au Sanctuaire de Saint Cyriaque, et comme le soulagement fut presque instantané, je me suis aussi frottée le cuir chevelu ainsi que toutes les parties du corps où j’avais mal (presque partout) et cela m’a soulagée. J'avais aussi avalé un peu de cette huile à midi car le peu que j'ai mangé, je n'arrivais pas à le digérer. Et je ne faisais plus que boire, avec une langue très blanche. Crise de désintoxication sans doute, ce que mon ostéopathe m'a confirmé. Ma guérison devait passer par là. De plus, c'est la première fois qu'elle arrivait à faire bouger les os de mon crâne (il y a longtemps que d'autres ostéopathes avaient buté là-dessus). Mon ostéopathe est une protestante très croyante, et je lui ai parlé de mon pèlerinage chez le Père Bianco et de ce qui s'y est passé. Elle m'a dit qu'une "porte blindée qui résistait toujours" s'était ouverte. Alors, j'ai rendu grâce à Dieu avec elle! Il y a donc eu un passage, une étape importante dans ma guérison, autant psychique que physique. Mais ce n'est pas fini! Beaucoup de choses bougent et continuent à bouger.
Il faudra peut-être que je retourne à Torre Le Nocelle. Le Père Michele m'a dit "à la prochaine fois!". Je ne sais pas s'il a senti que je devais y retourner...
Amicalement,
Anne-Marie.



RELATIONS, FAMILLE, MAISON

J'ai refusé d'avorter

Je me permets en ce jour de l’Assomption de vous écrire pour vous donner de mes nouvelles, si ça peut éventuellement vous faire plaisir, et surtout pour la gloire de notre Seigneur en l’honneur de la Vierge Marie.
J’étais venue en pèlerinage en septembre 2011 pour demander au père Bianco une prière de délivrance et de bénédiction, car je n’arrivais pas à avoir d’enfants. Au retour en France, parmi les grâces reçues lors de ce pèlerinage, j’ai eu la chance de tomber enceinte de mon compagnon, mais il n’a pas accepté ma grossesse et il souhaitait que j’avorte sur le coup.
Je n’ai pas avorté et il m’a quitté. Notre séparation a été très dure, car je n’avais pas de moyens financiers suffisants pour faire face à cette situation, mais j’ai gardé la grossesse dans la prière et l’espérance.
Dieu merci, j’ai accouché normalement un petit garçon qui enfin a été bien reconnu par son papa et aujourd’hui nous revivons ensemble.
Merci pour tout, en union de prière.
Alexia, France, 15 août 2013


Une déchirure familiale

Je suis venue en pèlerinage en novembre 2012 et ai rencontré le Père Bianco. Depuis, j’ai une paix intérieure. Ma vie a beaucoup changé, mes enfants sont revenus vers moi. Quelle joie quand ils m’ont invitée à passer Noël avec eux après ces deux années seule et recluse depuis cette déchirure familiale. Au niveau professionnel aussi les embuches disparaissent et font place à la lumière. Je me retrouve avec plein de nouvelles tâches, mes journées sont bien remplies. Le Seigneur m’a visitée en plénitude et je Le remercie chaque jour. J’ai hâte de venir revoir le père Bianco avec ce grand charisme qu’il dégage. N’hésitez pas, ne craignez pas de venir rencontrer le père Bianco. Vous verrez par vous-même que le temps de ce pèlerinage est trop court pour tous ces moments de recueillements et de prières. Je n’avais d’ailleurs qu’une seule envie : rester.

Pascale, mars 2013


Remerciement

J'ai écrit au Père Bianco il y a environ un mois, j'étais perdue, et je voudrais témoigner d'une transformation spectaculaire de mon état et de ma situation. J'avais demandé une intercession et délivrance pour les relations avec mon fils avec qui j'étais sous "domination" et sous "terreur" depuis très longtemps et avais confié mon état dépressif qui stagnait depuis très longtemps également. Or, quelques jours après, je me suis sentie profondément transformée d'une façon spectaculaire. J'ai retrouvé tous mes moyens et mes neurones ! La relation avec mon fils s'est radicalement transformée. Il a d'ailleurs pris la décision de vivre sous son propre toit maintenant presque du jour au lendemain.
Nous gardons un contact téléphonique quotidien et très harmonieux, mais surtout je me sens revivre ! Je suis en paix et pleine d’une joie sans cause.
Je ne me croyais pas récupérable malgré la grâce divine !
Mon cerveau était "démoli" par les médicaments que je croyais ne pas pouvoir arrêter. Mon médecin parle de les réduire progressivement maintenant et je me sens heureuse de vivre! Merci au Père Bianco et que Dieu le bénisse.

Nicole - France 2011

L’âme-sœur

Pendant les pèlerinages, il arrive aussi de rencontrer l’âme-sœur. Ainsi, une femme de Martinique m’a écrit : « Je me suis mariée en janvier 2012 avec Jean, que j'avais rencontré à votre pèlerinage en 2009». Nos meilleurs vœux pour un saint et bon mariage!


Témoignage d’un couple

Sophie a fait un premier pèlerinage chez le Père Bianco en octobre 2008.
Peu de temps après, nos chemins devaient se croiser. A cette époque, je ne pratiquais plus ma religion. Je vivais à Paris avec mes parents et souffrait du célibat. Je n'avais pas encore rencontré l'Esprit Saint. Ne supportant plus la souffrance, j'ai décidé - pour je ne sais quelle raison - d'aller à Lourdes avec mes parents pour confier tous mes problèmes à la Vierge Marie.
Là-bas, j'ai été touché par le Seigneur, par l'Esprit-Saint, d'une manière très forte, voire même déstabilisante, que ce soit dans ma famille, dans mon travail ou par Sophie. Je pensais être manipulé mais au bout d'un an, j'ai finalement admis que c'était le Seigneur qui me tombait dessus et qu'Il désirait que Sophie devienne ma femme. Je n'étais cependant pas prêt à cela. Alors, le Seigneur, patiemment, m'a guéri étape par étape et m'a fait comprendre qu'il était temps de mettre de l'ordre dans ma vie. J'ai ainsi compris que mes origines siciliennes pieds-noirs étaient pour beaucoup dans mes souffrances.
En juin 2009 j'ai rencontré le Père Bianco pour la première fois. Suite à ce pèlerinage, une nouvelle voie s'est ouverte devant moi. Je suis arrivé à quitter Paris, mon travail, mes parents avec lesquels je vivais une relation fusionnelle. J'ai réussi un concours où je suis arrivé deuxième sans avoir révisé et suis devenu fonctionnaire en août 2010.
En mai 2011 Sophie et moi sommes retournés chez le Père Bianco. Nous habitions deux régions différentes. J'ai demandé au Père pour que ma femme puisse trouver un travail et si nous devions aller habiter dans sa maison familiale. Le Père a répondu qu'il nous fallait attendre que l'un de nous trouve un travail proche de l'autre avant de faire quoi que ce soit.
Après une bonne année de cheminement spirituel intensif, je me suis marié avec Sophie.
Au mois d'avril 2012, Sophie a trouvé un CDI en région lorraine. J'ai pu trouver un poste dans la même région qu'elle. Cela nous a permis de nous installer dans sa maison familiale en septembre.
Toutes mes incertitudes se sont dissipées grâce à l'intercession du Père Bianco.
Sans son intervention et sans la grâce de Dieu, notre vie était bloquée.
Je peux vraiment dire que le Seigneur m'a guéri avec le temps et que ma vie a pris un virage très important depuis quatre ans. Dieu m'a donné une femme exceptionnelle, que j'ai parfois du mal à suivre sur le plan spirituel, mais que j'aime chaque jour davantage, moi l'handicapé du cœur.
Je remercie le Seigneur et le Père Bianco.
Alain, 29 octobre 2012


La chambre hantée

Jean, un enfant de 10 ans, ne voulait plus entrer dans sa chambre depuis longtemps. Il était épouvanté car il affirmait voir un homme en noir. Tout faisait penser à des fantaisies d’enfance, mais le jour de son anniversaire, ses parents ayant décoré la maison avec des ballons, ils ont constaté que seuls ceux qui étaient dans la chambre de l’enfant avaient tous éclaté, les uns après les autres et l’enfant affirmait que c’était l’homme en noir qui les faisait éclater avec un couteau. Les parents ont alors décidé de recourir au père Bianco. De retour du pèlerinage et le jour même, Jean a demandé à ses parents d’aller dormir dans sa chambre et il n’a plus donné de signes d’inquiétude.
Octobre 2011


Des blocages à la maison

Christine est venue en pèlerinage depuis la Suisse car de nombreux évènements étranges ont lieu dans sa maison. Les appareils électroménagers se bloquent fréquemment, on entend des bruits, impossibilité de vendre la maison depuis des années. Elle a amené la photographie de sa maison et le jour de son arrivée elle l’a montrée au père Janvier exorciste, qui l’a bénie, puis également au père Bianco. Le jour suivant, son mari l’a appelé pour lui dire que les appareils électroménagers qui avaient cessé de fonctionner avant le pèlerinage fonctionnaient de nouveau normalement.



GRACES SPIRITUELLES

La statue de Saint Cyriaque

Jean Alain habite l’Ile de la Réunion. En septembre 2012, il est venu voir le Père Bianco et a acheté des souvenirs dans la boutique du Sanctuaire qu'il a fait bénir par le Père Bianco. Deux mois après le pèlerinage, il m’a demandé : « Est-ce que Saint Cyriaque est un saint qui te prévient de certaines choses ? ». Moi, un peu étonnée, j’ai répondu que oui, qu'il est déjà arrivé que quelqu’un rêve de ce Saint qui le prévient en rêve d’un danger ou lui assure de sa protection. Jean Alain m’explique alors : « Lorsque j’étais à Torre le Nocelle, j’ai acheté des photos et des petites statues de saint Cyriaque et je les ai données à des proches dans le but de leur offrir un petit souvenir d’Italie. Dimanche dernier, une de me proches m’a rendu l’image et la statue de saint Cyriaque car, depuis que je les lui ai données, elle faisait des rêves qui se réalisaient, au point de craindre que ces objets soient envoutés. Pour ma part, je sais qu’il s’agit de la puissante intercession de Saint Cyriaque, mais je t'avoue que je ne sais pas quoi faire ! ».

Jean Alain, Ile de La Réunion, 26 novembre 2012


«Et si le démon existait ?». Histoire d'une conversion

Etienne est un jeune parisien de 20 ans qui depuis son enfance ne fréquente plus l’église, comme cela arrive à de nombreux jeunes. Son père est inquiet pour l’âme de son fils. Etienne de son coté ne se pose pas trop de problèmes concernant son futur. Il dort tard le matin, n’étudie pas, ne travaille pas, a l’argent de poche nécessaire pour s’amuser et vit entièrement à la charge de ses parents. De mauvaises fréquentations l’ont entraîné dans la dépendance à l’alcool et au cannabis. Il est mal dans sa peau, mais ne veut pas entendre parler d’église, de Dieu, ni du père Bianco.
En effet depuis longtemps son père essaye de l’emmener en pèlerinage au père Bianco, mais sans succès. Il espère que les célèbres charismes du prêtre italien pourront aider son fils à changer de vie, mais à chaque fois qu’il lui propose de l’accompagner, Etienne répond avec mépris et refuse la proposition.
Son père se rend alors trois fois en pèlerinage sans lui, avec sa photo à faire bénir et le cœur plein d’espérance. «Vous reste-t-il deux places pour la semaine prochaine» me demande au téléphone le père d’Etienne la veille d’un pèlerinage. «Oui, il ne reste justement plus que deux places». «Alors merci de les garder pour moi et pour mon fils, qui cette fois-ci a accepté de m’accompagner. C’est un miracle, j’espère qu’il ne changera pas d’avis à la dernière minute. Je vais acheter tout de suite les billets d’avion».
Le jour du rendez-vous arrive. Etienne est à l’aéroport de Naples avec son père. C’est un beau garçon, poli, gentil, personne ne pourrait imaginé qu’il a emprunté un mauvais chemin. Lui non plus d’ailleurs n’en paraît pas très conscient. En effet quand le père Bianco lui impose les mains et lui demande : «Que veux tu demander au Seigneur», Etienne, provocateur, répond : «Je ne demande rien du tout. Je suis bien, je n’ai aucun problème». Le père Bianco un peu étonné l’interroge : «Vas-tu à la messe?» «Non, jamais». «Es-tu étudiant ou travailles-tu? ». «Ni l’un ni l’autre, mais je vais bien», répond le garçon, et il ajoute avec un air de supériorité : «Je suis juste venu accompagner mon père, c’est lui qui a des problèmes, pas moi !» . Le père Bianco me regarde abasourdi, car c’est moi qui traduis le dialogue. On se comprend sans avoir besoin de se parler. Bien sur qu’ Etienne n’a pas de problèmes, pour lui ne rien faire n’en est pas un, c’est un privilège, sans conteste.
Etienne sort de la sacristie et prend place dans l’église avec le reste du groupe qui a déjà rencontré le père Bianco. Pendant la catéchèse je parle du démon et je prépare les pèlerins aux réactions qu’ils pourraient expérimenter au cours du pèlerinage après la bénédiction du père Bianco ou des exorcistes que nous rencontrerons ou encore, devant les reliques de saint Cyriaque. J’explique que si l’on ressent une forte chaleur dans une partie du corps, c’est un signe qui manifeste la présence d’un problème. Parfois j’oublie de le dire, mais ce jour là je ne sais pas pourquoi, j’insiste sur ce point là et je rappelle la nécessité de la confession dans une démarche de délivrance.
Etienne me regarde très attentif, trop attentif, on dirait. Peut être qu’il pense qu’il est tombé dans un milieu de fous, car on parle de sujets qu’il n’a pas l’habitude d’aborder : démons, exorcistes, vie de grâce, confession, sacrements… Mais le soir, après le souper, il vient me voir en privé. Il est préoccupé. Les paroles entendues dans la catéchèse se bousculent dans son esprit. Il avoue que devant la relique de saint Cyriaque il a ressenti une forte chaleur dans tout le corps et après la bénédiction du père Bianco cette chaleur est devenue un feu qui a duré trente minutes: «Et si le diable existait vraiment et si j’en étais victime ?» me confie-t-il. Le jour suivant, lors du deuxième entretien avec le père Bianco, il change d’attitude. Il n’est plus là «pour aider son père», mais il a compris que l’heure est venue de mettre de l’ordre dans sa vie et de couper avec l’alcool, la drogue et les mauvais amis. Il a attendu son tour pour se confesser au vicaire du père Bianco, le seul prêtre du sanctuaire de Saint Cyriaque qui parle français, et après il a pu communier, sous le regard éberlué de son père, qui pendant des années a prié nuit et jour et a fait célébrer une profusion de messes pour la conversion de son fils bien aimé.

Avril 2012


Une vie nouvelle

Depuis le pèlerinage de mars dernier chez le Père Bianco, je suis transformée.
Grâce à ce pèlerinage, j'ai pu demander pardon à Dieu et j'ai pris le courage de me confesser. Depuis, je suis libérée d'un état dépressif auquel j'étais devenue habituée et qui me fatiguait. Je me sens maintenant libre et légère comme cela ne m'était que très rarement arrivé au cours de ma vie depuis l'adolescence.
J'ai appris à aimer Dieu et comprendre tout ce que Jésus fait pour nous, comment Il se bat pour nous.
J'avais aussi apporté la photo de ma nièce éloignée de Dieu et qui voulait se suicider.
Depuis, sa mère m'appelle et m'a fait part du changement qui s'est opéré en sa fille.
Elle aime Dieu, assiste à des pèlerinages, va à la messe, se confesse alors qu'elle n'avait même plus envie de franchir les portes d'une église.
Grâce à ce pèlerinage, je me sens aimée de Dieu et je l'aime aussi.
C'est ce qui peut arriver de mieux dans une vie. Merci.

Un chauffeur de bus

Je m'appelle Luca et je suis chauffeur de car. Depuis 30 ans, je tenais comme superflu de m'approcher du confessionnal. Et comme beaucoup de gens, je me justifiais en me disant en moi-même: «Si Dieu existe, Il sait que je ne fais de mal à personne; pourquoi se confesser à un prêtre?». Un jour, j'ai été chargé de conduire un pèlerinage chez le Père Michele Bianco. J'ai entendu les prières et l'emphase du Père Bianco et surtout j'ai pris conscience que je ne me sentais plus si bien devant Dieu comme je le croyais auparavant. Cette nuit-là, j'ai mal dormi. Au matin, j'ai pris courage et je suis allé me confesser. (Luca – Italie)



DELIVRANCES

Je suis entrée en transe lorsque j'ai commencé à lire
le livret «Sur les pas des exorcistes - Qui est comme Dieu»

Bonjour Patrizia,
voici mon témoignage. Début août, j'ai fait la neuvaine de Notre Dame du Scoglio pour retrouver du travail. Par son intercession Dieu m'a accordé cette grâce. J'ai trouvé un emploi de courte durée depuis fin août. Je vais bien. Alléluia pour toutes les grâces reçues. Et merci encore à toi. Et continuez à prier pour nous tous les 8 du mois.

Un grand merci à DIEU qui m'a libérée de ma dépression. En effet, cela faisait dix ans que je cherchais à me stabiliser dans l'emploi. Un psychologue m'a conseillé de voir avec le Diocèse de la Réunion pour rencontrer un prêtre exorciste et à ma grande déception, on m'a répondu qu'il n'y en avait pas. Comme toutes les portes m'étaient fermées, j'ai pris alors contact avec Patrizia au mois de décembre 2012 car je voulais absolument guérir. Elle m'a adressé rapidement toute la documentation pour le pèlerinage au père Bianco. Je me suis inscrite de suite et je suis partie avec mon enfant de quatre ans au mois d'avril 2013.

Ce n'était pas facile, mais Dieu m'a donné le courage. Arrivées à Naples le jeudi 18, nous avons rencontré, le soir même, le Père Janvier qui a fait une prière et une imposition des mains sur ma tête. Je n'ai pas ressentie d'émotion particulière. En revanche, le lendemain matin, lors de la conférence de Patrizia, j'ai commencé à entrer en transe lorsque j'ai commencé à lire le livret «Sur les pas des exorcistes - Qui est comme Dieu», qu'elle a écrit pour ses pèlerins.

Et les attaques ont été plus violentes dans l'après-midi lorsque je me suis mise à genoux devant la statue de Saint Cyriaque. Là, plusieurs personnes m'ont prise en charge et mes amies se sont occupées de mon enfant. Après l'entretien avec le Père Bianco, je me suis sentie beaucoup mieux. Le samedi, j'ai été libérée des esprits maléfiques au cours de l'Eucharistie et j'ai eu des réponses à mes questions. J'ai su qui m'avait fait du mal.
À mon retour, j'ai eu encore quelques attaques, et beaucoup de déceptions au niveau professionnel, malgré tout je continue à prier. Je suis complètement libérée de cette dépression aujourd'hui. UN GRAND MERCI au Père Janvier, au Père Bianco à Patrizia et mes amies Isabelle, Flore, Claudette etc.

Marie A., Ile de la Réunion, septembre 2013


Dieu était au rendez-vous

J’ai fait appel au Padre Bianco il y a 4 ans déjà. Je lui avais envoyé plusieurs courriers pour lui demander son aide...
Après avoir perdu mon travail, j’avais décidé d’aller à Torre Le Nocelle car les prières du Père Bianco avaient opéré beaucoup de bouleversements dans ma vie. En 2009 donc, durant la Semaine Sainte, je suis arrivée à Torre le Nocelle avec mon mari et mes enfants... Mais je n’ai pu rencontrer le Padre... Il était à Rome ! Mais rien que le fait d’avoir entrepris ce voyage, Dieu était au rendez-vous et je suis rentrée en France en ayant versé beaucoup de larmes dans le sanctuaire de Saint Cyriaque ! Depuis, Notre Dieu d’Amour a établi Sa Tente dans mon cœur et j’ai été délivrée des démons qui avaient élu domicile dans mon corps !
Je fais maintenant partie d’un groupe de prière et je me laisse porter par l’Esprit de Dieu. Je suis transformée car Dieu a guéri beaucoup de blessures en moi ! Gloire à Notre Dieu et Créateur ! J’ai fais mien le Psaume 40 et je veux: “Que tous sachent ce que mon Père du Ciel a fait pour moi !” Amen !
Marie, mars 2013

Moins d'attaques maléfiques

Je te remercie pour ce pèlerinage qui est une ressource immense pour la guérison. Je sens bien que le Malin continue ses attaques maléfiques comme avant, mais je suis beaucoup plus forte pour y résister et j'ai l'âme en paix. En fait, je ne ressens presque plus rien. J’ose espérer que cela disparaîtra complètement.
Annick, mars 2013


Libération

J'arrive tout juste à la Réunion. Je suis très fatiguée mais heureuse. Ce pèlerinage était très important pour moi. Cette libération m'a permis de mieux me retrouver et d'y voir clair. Je n'ai plus cette peur et tous ces doutes qui m'habitaient. Beaucoup de choses ont changé dans ma vie. Je me sens plus sereine, confiante et dans un état d'abandon total au Seigneur. J'avais vraiment besoin de ce pèlerinage. Je Lui en rends grâce chaque jour.
Marie-Louise, Octobre 2012


Le démon peut parfois se cacher

Le démon peut parfois se cacher et ce n'est que par la prière insistante de l’exorciste qu'il est obligé de manifester sa présence.

En mars 2013, j’ai vécu l'une de ces expériences. A la première bénédiction du Père Bianco, une dame de mon groupe n’a pas réagi. Le lendemain, elle n’a pas réagi non plus lors de la bénédiction du Père Janvier qui est exorciste depuis 30 ans. Personne ne pouvait soupçonner qu’elle était possédée. Le même soir, lors de la deuxième rencontre avec le Père Bianco, je fus très surprise de voir la femme tomber par terre, crier et commencer à se contorsionner, le démon ne pouvant plus rester caché.
Il n’y avait que le Père Bianco et moi à la sacristie. Il me fit signe de lui passer le crucifix pour la bénir. C’était un très beau crucifix du XVIIIème siècle, assez massif, avec la croix en bois et le Christ en fer, avec lequel le Père Bianco avait déjà chassé des centaines de démons.
Il n’avait pas encore touché la femme avec le crucifix, qu’elle fixa son regard plein de haine sur le Christ, lui brisant les deux bras et le détachant de la croix par la seule force de son regard. Le Père Bianco et moi en sommes restés abasourdis, mais la femme, en revanche, a craché de la matière noire, signe qu’au moins un démon était parti. Quand la crise fut terminée, elle ne se rappelait plus rien.

Patrizia Cattaneo, Mars 2013

Les montres envoûtées

Marie est une femme de 74 ans, d’origine italienne. Elle avait amené chez le Père Bianco deux montres en or qui ne marchaient plus, mais qu’elle gardait parce qu'elles étaient en métal précieux. Cela parce que, depuis quelques temps, elle se sentait dérangée en s'approchant de ces objets, comme s’ils dégageaient de la négativité. Bien que l’idée lui semblât bizarre, elle s’est résolue à les amener à la dernière minute pour les faire bénir. Au moment où le Père Bianco les a prises en main, ses mains sont devenues rouges et chaudes comme le feu. Il les a plongées tout de suite dans un récipient d’eau bénite et lui a dit de s’en débarrasser, car il était évident qu’elles étaient envoûtées. Il s’agissait d’un cadeau provenant d’une personne de sa famille qui l’avait toujours jalousée et qui fréquentait des voyants.

29 novembre 2012


Une séance de spiritisme a ruiné ma vie

Témoignage reçu d’un jeune homme, après un pèlerinage à Torre Le Nocelle vers la fin de l'année 2011. Son récit témoigne avant tout du danger des séances d’occultisme mais également du fait qu’il se produit toujours quelque chose de positif dans la vie des personnes qui entreprennent cette démarche à la recherche de la délivrance lors du pèlerinage en Italie « sur les pas des exorcistes», et grâce au charisme de délivrance du père Michele Bianco.

Me voici à Torre la Nocelle, sur le porche de l'église. Les autres membres du groupe se recueillent auprès des reliques de Saint Cyriaque comme moi-même quelques instants auparavant. Les raisons qui m'ont amené ici en ce mois de décembre remontent à l'âge où, normalement, la vie s'ouvre à tout un chacun, l'année de mes vingt ans. J'en ai aujourd'hui quarante, avec un seul regret, le basculement de ma vie suite à une expérience de spiritisme entre amis.
Sans trop m'étendre sur les détails de la séance, je dirai que ce fût la plus grande peur jamais ressentie de toute mon existence, avec pour conséquence une transformation intégrale de mon identité.
D'un naturel sociable et enthousiaste, toujours entouré soit par des amis proches, soit par de nouvelles rencontres sentimentales, je menais la vie d'un post-ado épanoui.
Ma scolarité se déroulait brillamment, surtout dans les disciplines qui suscitaient mon intérêt et chaque réveil matinal était une invitation à bondir de mon lit pour voir ce que la vie me réservait de nouveau et de palpitant.

Un jour, pour combler le temps entre deux cours, l'un de mes camarades de classe à proposé une séance de oui-ja, à l'aide d'un verre, chez ses parents. Nous étions six ou sept à y participer. Rien de très spectaculaire au début et puis, subitement, je me suis senti littéralement vidé de tout mon être en l'espace d'un instant et fut pris de tremblements de frayeur. Je ne comprenais rien à ce qui se passait.

Dés les jours qui ont suivi cet épisode, ma vie ne fut plus identique. Mon niveau scolaire s'est effondré, je me suis dévitalisé en un rien de temps et mes idées sont devenues confuses. Mal dans ma peau, assailli par de violentes migraines, j'ai d'abord mis cela sur le compte d'une dépression passagère, bien que sans raison particulière. Le plus pénible ayant consisté en un véritable exil social.
Les relations avec l'entourage devenaient vite conflictuelles à mes dépends, subissant l'agressivité gratuite des personnes que j'étais amené à rencontrer. Ma vie sentimentale est passée de réjouissante à complètement inexistante. Je plongeais dans une solitude totale et profonde sur fond de vie où plus rien ne fonctionnait.
Lorsque la direction de mon école m'a renvoyé pour manque de motivation, je suis allé consulter un médecin qui m'a immédiatement mis sous antidépresseur en voyant mon état. Le traitement n'a duré que quelques mois mais j'étais parti pour deux décennies de souffrance quotidienne, avec en prime un harcèlement de pulsions suicidaires et autodestructrices contre lesquelles j'ai lutté en permanence. Jour et nuit.
Aujourd'hui, je peux dire que j'aurai tout essayé pour m'en sortir en consultant auprès de multiples sortes de praticiens, homologués ou pas. Psy, magnétiseurs etc... Pas de changement pendant six années jusqu'à ce que, sur un coup de tête, je m'exile quelques semaines sur les chemins de Saint-Jacques en Espagne. Au fil des étapes, je me réappropriais mon identité. Un vrai bol d'air pur.
Fort de cette expérience et quand même interloqué par la brutalité du basculement de ma vie, je me suis demandé si l'origine de ce qui me tourmentait ne provenait pas de cet épisode au lycée.
Ces dix dernières années, je suis allé à la rencontre de différents prêtres par trois fois afin de chercher une solution auprès de l'église catholique française. La démarche n'est pas facile et j'y mettais beaucoup d'espoir.
Pour ces prêtres, cela semblait également délicat car l'église en France se donne pour consigne de prendre en charge ces requêtes avec beaucoup de précautions et j'avoue être reparti un peu dépité de ces entretiens tant je ressentais leur incompréhension par rapport à ce que je vivais alors.
En mon for intérieur, j'avais une conviction, c'est que je n'étais pas fou... du moins pas encore, et ce malgré les multiples échecs et difficultés que je rencontrais toujours au fil des jours et qui s'ajoutaient à mon désespoir.
Au hasard d'une consultation internet, j'ai pris connaissance du travail effectué par le Père Bianco à Torre la Nocelle et j'y ai vu une opportunité, si ce n'est de régler le problème, tout au moins de statuer sur son origine. Au terme de deux ans d'hésitations, je suis passé à l'acte le mois dernier.
Le week-end organisé par Patrizia fut très enrichissant tant dans son contenu que par la rencontre des participants. J'en repartais renforcé dans ma foi chrétienne et rassuré sur mon état suite aux entretiens auprès des prêtres [exorcistes] rencontrés. La dernière soirée fut l'occasion de belles conversations autour de la table du dîner et le week-end se terminait dans une ambiance plutôt chaleureuse. J'étais à priori satisfait.
Le matin du départ, par principe, une dernière rencontre est prévue avec le Père Bianco. Impossible d'y aller. La nuit fut ponctuée de tout ce qui existe en terme de troubles digestifs accompagnés de fièvres, tremblements et sueurs froides. J'ai cru que j'avais attrapé le "palu"... en Italie... J'ai dû me trainer jusqu'au bus et ensuite compter les minutes interminables avant d'arriver à Naples. Tout mon corps n'a plu été que souffrance physique durant tout le trajet du retour, avion et escales comprises. Les jours qui ont suivi ont été dans la même tonalité avec des hauts et des bas, des courbatures, des expulsions de toutes les couleurs et des nuits agitées dans tous les sens, pendant à peu près une quinzaine de jours.
Cela fait un mois et demi que le pèlerinage a eu lieu. Je ne comprends pas tout à ce qui s'est passé mais je vois bien que ma vie reprend un peu de ses "couleurs" au fil des jours qui passent. Bien que tenté de relater quelques anecdotes, je préfère encore rester pudique par rapport à ces changements mais je peux témoigner de plusieurs choses. D'un "avant" et d'un "après" pèlerinage, de ma grande gratitude vis à vis de Patrizia et du Père Bianco pour m'avoir permis de donner un virage à mon existence afin de la traverser sur un chemin plus lumineux et plus porteur d'espérance.
Et du fait que tout au long de ces années difficiles, bien que ne le sachant pas, je n'ai jamais été seul.



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